Boris Mikhailov, La tentation de la mort, 2019
50 ans après que tout a commencé, les artistes de Kharkiv et leurs adeptes créent toujours de nouvelles images!
Boris Mikhailov, La tentation de la mort, 2019
La tentation de la mort de Boris Mikhailov utilise des images d'un célèbre crématorium inachevé à Kiev combinées à ses photos déjà existantes.
Boris Mikhailov, La tentation de la mort, 2019
L'ensemble du projet comprend plus de 150 diptyques.
Sergei Solonsky, Selfies, 2020
Les artistes utilisent les avantages des technologies de l'ère numérique.
Sergei Solonsky, Selfies, 2020
Sergei Solonsky utilise des technologies numériques là où autrefois l’habileté de main était nécessaire.
Sergei Solonsky, Selfies, 2020
Les Selfies de Solonsky rappellent parfois des portraits de Francis Bacon.
Igor Chursin, Les masques, 2020
Les nouvelles œuvres d'Igor Chursin reflètent des problèmes mondiaux et un répertoire thématique universel.
Igor Chursin, L’eau verte, 2020
Roman Pyatkovka, Le mouvement tectonique, 2019
Roman Pyatkovka fouille dans ses archives vieilles de 30 ans pour créer de nouvelles œuvres. Le mouvement tectonique est une manipulation numérique avec des images scannées en noir et blanc.
Roman Pyatkovka, Le troisième Rome, 2015
Le troisième Rome combine le collage numérique et son travail exceptionnel avec des mannequins.
Roman Pyatkovka, Le troisième Rome, 2015
Cette série est la réponse de l'artiste à l'agression de la Russie en 2014, et Pyatkovka, fidèle à son style, fait poser ses personnages travestis à moitié nus devant la Place Rouge.
Misha Pedan, La Présence éternelle, 2017
La Présence éternelle de Misha Pedan est un passage entre sa photographie de rue et le montage numérique.
Misha Pedan, Hanafuda, 2019
Le projet Hanafuda est filmé en Suisse et au Japon.
Misha Pedan, Hanafuda, 2019
Hanafuda est une série de photos de rue panoramiques qui imitent des paravents japonais.
Sergey Bratkov, Laisser Oublier, 2013
Sergey Bratkov combine la photographie avec des inscriptions au néon.
Sergey Bratkov, Shookie—Shtookie, 2016
La série Shookie—Shtookie est basée sur des images érotiques trouvées sur Internet. Dans la meilleure tradition de L'École de Kharkiv, l'artiste les transforme en abstractions colorées.
Sergey Bratkov, Shookie—Shtookie, 2016
Igor Manko, Les signes du ciel, 2007—2009, 2017
Les nouvelles œuvres d'Igor Manko sont dans son style minimaliste préféré.
Igor Manko, La Déconstruction du paysage, 2017—2018
Igor Karpenko, Le monde idéal, 2007
La série de photos mises en scène et de montages numériques Le monde idéal a été créée en 2006—2014, mais certaines de ces œuvres n'ont été rendues publiques que récemment.
Igor Karpenko, Le monde idéal, 2007
Karpenko dit que son travail est une tentative d'affronter la réalité instable d'aujourd'hui avec quelque chose de beau et d'idéal.
Igor Chekachkov, La terre obscure, 2019—2020
La terre obscure est une série de panoramas automatisés sur smartphone pris à partir d'un train en mouvement.
Igor Chekachkov, La terre obscure, 2019—2020
L'artiste s'intéresse à la liaison entre le temps et l’espace et leur représentation visuelle. La beauté formelle des panoramas est un effet secondaire.
Roman Minin, La réserve de Kharkiv, 2020
Roman Minin utilise la photographie comme un arrière-plan pour ses œuvres graphiques. La réserve de Kharkiv illustre un débat houleux sur des questions politiques dans la ville.